C'est l'histoire de la raison pour laquelle nous accrochons un gui à Noël

Saviez-vous que le gui, l'un des symboles les plus romantiques de Noël, est en fait un type de parasite? C'est exact. Il sape une grande partie de ses nutriments quotidiens de l'écorce des arbres hôtes sur lesquels il vit, provoquant des croissances anormales appelées "balais de sorcières" qui déforment les branches de l'hôte et compromettent sa santé reproductive. Pas le plus amoureux des contes, c'est sûr. Pourtant, il y a de bonnes raisons pour lesquelles nous accrochons le gui à Noël, et cela a à voir avec la science et un folklore très durable, couvrant des milliers d'années et des cultures multiples.

Alors que les faits scientifiques nus de gui. Comme vous l'avez peut-être entendu, le gui est toxique, et lorsque les oiseaux mangent ses baies, ils ont tendance à excréter rapidement la graine collante, qui est susceptible d'atterrir sur la branche de l'arbre sur lequel ils sont ensuite assis. La graine se colle ensuite à l'arbre, ce qui lui permet potentiellement de pousser l'année suivante. ae0fcc31ae342fd3a1346ebb1f342fcb

En fait, le nom "le gui" lui-même met en lumière la physiologie de la plante: lorsque vous décomposez le terme original-brouillard-Vous vous retrouvez avec deux mots, décortiquer, ce qui signifie «fumier» et bronzer, qui se traduit par "brindille", selon Le Washington Post.

Regarder le gui plus symboliquement, Rob Dunn de Smithsonian Le magazine note: "Le gui est une mesure du nombre de fruits de notre vie quotidienne, qu'ils soient littéraux ou figuratifs, dépendent d'autres espèces. Nous dépendons du gui pour la tradition. Et cela dépend de son arbre et de son oiseau, tout comme nous dépendons de milliers d'espèces nous-mêmes… nos cultures, nos arbres de Noël et tant d'autres."

Bien sûr, les excréments d'oiseaux et les graines collantes ne ressemblent pas à des composants d'une romance classique, mais une vue mythologique jette une lumière différente sur la plante tenace et mal compris. L'association du gui avec la vitalité et la bonne santé est au moins aussi ancienne que les anciens Grecs, qui le considéraient comme quelque chose d'un panacée, Selon l'histoire.com. Plus tard, l'ancien naturaliste romain Pline l'aîné a décrit son efficacité dans le traitement des ulcères, de l'épilepsie et de l'exposition à certains poisons.

En plus de ses propriétés de guérison, le gui a été utilisé comme aide à la reproduction, en particulier par les druides celtiques du premier siècle A.D. Ils le considéraient comme un symbole de vivacité et administreraient la plante à la fois aux animaux et aux humains pour améliorer la fertilité.

Cependant, l'une des histoires centrales concernant le gui, et ce qui semble le plus directement se connecter à notre compréhension moderne de la signification romantique de la plante à partir de la mythologie nordique. Selon le folklore, le dieu Baldur, petit-fils de Thor, rêvait de sa propre mort. Croyant que le rêve d'être une prophétie, la mère de Baldur, Frigg, a fait de grands efforts pour l'empêcher de faire de vraie les plantes et les animaux prêter serment qu'aucun mal ne serait fait à son fils. Mais Frigg n'a pas réussi à garantir un serment de gui, et sans délai, le prickster Dieu Loki a façonné une flèche de la plante, qu'il a ensuite utilisée pour tuer Baldur. Puis, après que le Dieu déchu a été pleuré par son peuple, Baldur a été ressuscité, inspirant Frigg à déclarer le gui un symbole d'amour et faire un vœu qu'elle embrasserait tous ceux qui ont réussi en dessous.

Bien qu'il ne soit pas clair comment le gui a commencé à être lié à Noël spécifiquement, agriculteur Brian Barth de Smithosonian postule qu '"il est logique que le gui, avec son feuillage à feuilles persistantes et ses baies rouges attrayantes, soit amenée à l'intérieur comme décoration pendant les mois d'hiver stériles, tout comme les gens le font avec les branches de sapin et les branches de houx."

Donc, si vous marchez sous du gui cette saison des fêtes, sachez que ce n'est pas juste une autre nouveauté, mais un très vieux rituel en effet!